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Titre : Merfer Titre original : Railsea Auteur : China Miéville Edition et Parution : Pocket, 2017 Nombre de pages : 480 Quatrième de couverture : La Merfer. Elle recouvre l’essentiel de ce monde, son réseau de rails dense, dont on ne connaît ni début, ni fin, dont nul ne sait l’origine, est la seule voie pour les hommes sur une terre devenue propriété d’un bestiaire terrible et fantastique, aux proportions démentes et à l’appétit vorace. Parmi ces créatures, la plus formidable de toutes, la gigantesque taupe albinos : Jackie La Nargue. Et à ses trousses, le Mèdes, un train taupier mené par la capitaine Picbaie qui traque la bête telle une obsession depuis qu’elle a emporté son bras. À ses côtés, le jeune orphelin Sham découvre l’univers de la chasse, fait d’excitation et de dangers, d’aventures et de drames. À l’image de ce train déraillé et du mystère qu’il contient, dont Sham va devenir le dépositaire inattendu. Une trouvaille énigmatique qui le conduira dans la plus folle des expéditions, jusqu’au bout de la Merfer, là où vivent les anges… |
Je remercie Babelio pour ce roman que j’ai reçu lors de la dernière masse critique – Mauvais genres. J’étais très impatiente de lire « Merfer » car le quatrième de couverture, ainsi que la couverture en elle-même me semblaient tous deux très alléchants. Malheureusement, la sauce n’a pas pris du tout et j’ai eu beaucoup de difficulté à apprécier cette lecture. J’ai eu énormément de mal à me plonger dans ce roman que j’ai trouvé très rébarbatif à lire. L’Univers est assez déroutant et plutôt farfelu et c’est entre-autre pour cette raison que je n’ai pas accroché du tout. Il faut dire, que dès le début de ce roman, j’ai été rebutée par le style d’écriture de l’auteur. Sa phraséologie est compliquée à appréhender et il s’autorise des petits écarts de rédaction. En effet China Miéville utilise tout au long du récit le symbole « & » pour remplacer le mot « et » ! Je n’ai pas du tout saisi l’intérêt de cette pratique que j’ai trouvée totalement inutile et je dois dire que c’est entre autre l’une des choses qui m’a le plus dérangée lors de cette lecture. Cette esperluette placée à tout bout de champ un peu partout donne un aspect très décousu au texte. Comme vous l’aurez compris, je n’ai donc pas su m’habituer à ce style d’écriture très particulier et du coup, pour être totalement honnête avec vous, je n’ai pas su le terminer… 🙁 Je me suis arrêtée à moins de la moitié (ce qui ne m’arrive pratiquement jamais !) Mais là, ce n’était plus possible pour moi de continuer car ça traînait trop en longueur et je n’étais absolument pas dans le truc… Je m’en veux d’autant plus qu’il s’agit d’une lecture pour une masse critique, mais bon, ce sont des choses qui arrivent 😉 Je pense, que je m’attendais peut-être un peu trop à un univers dans le genre de “Snowpiercer” que j’avais beaucoup apprécié et qui se déroule également dans un train qui parcourt un monde post-apocalyptique. Cependant je me suis trompée car ça n’a absolument rien à voir… Voilà, ce n’était pas une lecture pour moi, tant pis. Cependant, ce roman a eu beaucoup de succès depuis sa sortie auprès d’autres lecteurs alors ne vous arrêtez pas à mon avis négatif et si il vous tente, lisez-le ! Peut-être qu’à vous il vous plaira 😉 2/10 (Lecture à oublier très vite… Sayonara !)
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L’explication des “&” figure assez tôt dans le livre, vous ne devez pas en avoir lu beaucoup…
En effet, l’explication du pourquoi des esperluettes figure bien dans le roman. Je n’ai d’ailleurs en aucun cas suggéré le contraire dans ma chronique… Mais cette explication donnée ne change rien au fait que je n’ai pas apprécié cette pratique que j’ai trouvée très dérangeante lors de ma lecture.
Oh quel dommage, j’avais bien aimé pour ma part. Mais c’est vrai qu’il ne faut jamais essayer de comparer China Miéville, car il est totalement unique !
Coucou Zina, je suis contente de lire que tu as apprécié cette lecture 😉 Cela prouve bien que même si ma chronique est assez négative, ce livre trouvera tout de même des lecteurs qui sauront l’apprécier ^^ Tant mieux 😀 Perso avec cette expérience décevante, je ne pense pas que lirai autre chose de China Miéville (mais, il ne faut jamais dire jamais !) ^^
Aucun de ses livres ne se ressemblent, mais ils sont tous space !
Ok, merci pour ton commentaire Zina ! Je sais à quoi m’en tenir, du coup ^^ Je ne pense pas que je renouvellerai l’expérience d’aussitôt, lol J’aime les romans spaces, mais quand c’est trop, c’est trop 😉
Etrange choix en effet, de remplacer les ET. J’ai beaucoup aimé le film Snowpiercer aussi mais quitte à voir des trains, autant voir des Metro et relire Metro 2033^^. Bon, c’est moins absurde comme univers mais c’est trés bien^^.
Pffff, oui c’est vraiment lourd ce truc avec les esperluettes ! Oh mais clairement, j’ai adoré aussi Metro 2033 et Metro 2034 ! Faudrait d’ailleurs que je me lance dans le dernier paru : Metro 2035 😀 Sinon avec un train du côté des mangas, il y a aussi Galaxy Express 999 qui est vraiment top ! Pour Snowpiercer c’est clair que c’est un excellent film, je compte le revoir très bientôt afin de le chroniquer ici 😉