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Titre : Envoûtement Titre original : Need Auteur : Carrie Jones Édition et Parution : City Editions, 2009 Nombre de pages : 380 Quatrième de couverture : Zara collectionne les phobies et les angoisses, comme les autres jeunes filles de son àge collectionnent les bàtons de rouge à lèvres. La vie n’a pas été tendre avec elle et sa mère, incapable de s’occuper d’elle, vient de l’envoyer vivre chez sa grand-mère. Zara espère pouvoir y vivre en sécurité, loin de ses peurs. Pourtant, les froides forêts de la région n’ont rien de rassurant, et d’étranges aventures attendent la jeune fille… Qui est ce garçon qui la suit partout et semble si maléfique ? Heureusement, Nick, un élève de sa classe, veille sur elle, et sa beauté ténébreuse n’est pas le moindre de ses atouts… Mais n’a-t-il pas, lui aussi, de lourds secrets ? Zara ne va pas tarder à découvrir que le danger se cache derrière les apparences… Et que les humains ne sont pas ceux que l’on imagine ! |
Mon avis : Ce livre est vendu avec un bandeau rouge (couleur très accrocheuse pour l’œil) sur sa couverture stipulant « Ce livre a de l’ADN de Twilight ». Alors on se dit « ah ben oui pourquoi pas ! Comme j’ai adoré Twilight, je ne serai pas déçue… » Eh bien non, pas du tout, car personnellement j’ai été très déçue ! La seule ressemblance quasi copiés à Twilight est Zara (l’héroïne de ce livre). Suite au décès de son beau-père des suites d’une crise cardiaque, elle se fait envoyer par sa mère chez sa grand-mère qui habite un petit village dans le Maine pas très peuplé et où il fait toujours froid (ça ne vous dit rien ?). Bon la ressemblance s’arrête la, fort heureusement ! Ouf, mais à quoi pouvait donc servir ce bandeau rouge sur la couverture à moins d’attirer une bonne partie de fans de Twilight ? Car en réalité cette histoire ne possède pas du tout l’ADN de Twilight ! Ah lala, marketing, marketing quand tu nous tiens… L’histoire aurait pu être très sympa, Mais le problème est que j’ai eu l’impression que tout était survolé. Les personnages ne sont (à mon avis) pas assez fouillés, quoique attachants et sympathiques quand même (j’ai surtout bien aimé la grand-mère ^^). L’histoire est un peu simpliste, un peu trop ado à mon gout, et j’ai trouvé la fin un peu trop précipitée… J’ai eu une bonne surprise, car ici, on ne trouvera pas de vampires et autres êtres fantastiques (sauf des garous de toutes formes), mais nous feront la connaissance des lutins. Autant vous dire tout de suite que quand j’ai vu ça je me suis marrée comme une baleine imaginant ces lutins en petit bonhomme vert avec un chapeau pointu. Mais ici c’est n’est pas le cas et je vous laisse lire ce livre pour le découvrir. Par contre la petite idée sympa de ce bouquin est qu’à chaque début de chapitre on découvre le nom d’une phobie (qui sont souvent de noms assez incongrus) mais qui nous permettent d’enrichir un peu notre vocabulaire. Pour finir, ce roman de Carrie Jones est tout simplement facile à lire, agréable et distrayant, mais il n’est nullement mémorable. Par contre dès que j’en aurai l’occasion, je lirai quand même le deuxième tome par simple curiosité. Note : 6/10 (Une lecture divertissante !) |
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